Étiquette : travail
Cet article, je l’ai écrit comme si j’avais été la spectatrice de ma vie. En utilisant la troisième personne pour me décrire. Parce que c’était plus facile de dévoiler cette partie de moi en écrivant comme si j’y avais assisté sans pouvoir intervenir.
La fois où j’ai tout quitté pour aller vivre à Cabarete. Partie 6
By catherine on 22 octobre 2017J’étais en couple avec un Européen qui était à Cabarete depuis quelques mois. Dans ce village, les couples ne duraient pas. Mais on a quand même essayé. Je n’avais pourtant aucune envie d’être en couple, mais on était toujours ensemble et après un certain temps, on nous avait associé l’un avec l’autre.
Ça prend vraiment de la persévérance et surtout de la passion pour se lancer dans un projet comme un blogue ou n’importes quels autres projets d’entreprenariat.
D’abord il faut convaincre les gens de s’abonner à ta page ou parfois même il faut les convaincre de donner leur numéro de carte de crédit en échange de ce que tu as à offrir. Il y en a plusieurs qui vont abandonner parce qu’ils ont peur de se faire dire non et la compétition est féroce sur le web, alors t’as pas le choix d’être un peu agressif sur les réseaux sociaux si tu veux qu’on te choisisse toi plutôt qu’une autre.
La fois où j’ai tout quitté pour aller vivre à Cabarete. Partie 3
By catherine on 18 août 2017Voici la troisième partie de la série d’article: La fois où j’ai tout quitté pour aller vivre à Cabarete. Dans le dernier article, je racontais l’épisode où j’ai eu un accident en scooter. Voici donc ce qui s’est produit ensuite…
Si vous ne les avez pas encore lu, les voici: partie 1 et partie 2
Aout 2006
C’était le mois d’aout à Cabarete. Il faisait chaud, très chaud. J’étais devenue la « French Canadian » qui s’est cassée la gueule en scooter. J’avais deux bâtons de popsicle qui tenaient mes doigts recousus, des ecchymoses partout sur les jambes, une épaule bien écorchée. Difficile de passer inaperçue.